Représentations, usages et gestion de l'eau par des différents acteurs à La Grande Comore | ||||||||
article Nov 2014 ; 14 pages ![]() Aut. Karen Lopez Hernandez Ed. DIRE - Saint Denis Downloadable format: PdF ![]() Downloadable from the publisher ![]() Résumé: Les Comores, situé dans le canal de Mozambique, est composé actuellement de trois îles : Grande Comore (Ngazidja), Anjouan (Ndzouani) et Mohéli (Mwali ou Moili). « Les différences géologiques entre ces îles, lié d’ailleurs à l’âge d’émergence et aux phases volcaniques, font qu’à l’île de Ngazidja [la plus jeune] et contrairement aux autres îles de l’archipel aucun réseau hydrographique ne s’est développé ». L’absence de sources d’eau superficielles marque des contraintes spécifiques car l’accès à l’eau n’est que possible par la voie des puits ou forages, bornes fontaines citernes publiques et privées. En 2009, 27% de la population de la Grande Comores « bénéficient d’un accès réel à une eau souterraine. 21% résident à proximité d’infrastructure, mais celle-ci est défaillante. Le reste de la population (52%) n’a accès quotidiennement qu’à des citernes d’eau (publiques et/ou privées) pluviale » . Dans ce contexte, quelles sont les représentations, usages et gestion de l’eau à La Grande Comores ? Quel est le rôle des femmes ? Dans quelle mesure l’accès variable à l’eau approfondit-il la pauvreté et la hiérarchisation sociale ? Pour ce faire l'article privilégie la perspective socio-anthropologique où l’observation chez les habitants apportera des éléments pour comprendre comment les Comoriens établissent un usage spécifique de la ressource en eau. Target Audiences:
|
||||||||
If there is a broken link, we will be pleased to receive a message: communication@pseau.org |